Dans cette anse abritée fut édifiée au début du XVIIIe siècle une digue avec un parapet de granit appelée communément « le Pont ». Sa fonction initiale et principale était de préserver les terres cultivables en faisant barrage à la montée des eaux lors des grandes marées. Cette anse accueille de nos jours les bateaux chausiais en hivernage.
Au pied de la colline, une longère bâtie dans les années 1890 a servi pendant trente-cinq ans d’annexe de l’hôtel des Iles pour héberger ses clients. A la fermeture de cet hôtel, « les petits chalets » du Pont sont alors mis en location et hébergent encore à ce jour familles de pêcheurs et plaisanciers chausiais de longue date.
Au bout de la « chaussée », longue de 66 mètres, passage obligé reliant les Blainvillais au Vieux Fort et aux plages, se situe le lavoir, alimenté par le puits. Jusqu’au milieu du XXe siècle, les Chausiaises y lavaient leur linge. Il est désormais protégé de la fréquentation.
Actions de la SCI (380 caractères espaces compris max)
Pour remplacer les ormes atteints par la maladie dans les années 1980, la SCI a replanté différentes espèces d’arbres : peupliers, marronniers, trembles, bouleaux. Dans les années 1990, et régulièrement depuis, elle entretient et met en valeur le puits et le lavoir.
Le saviez-vous ? (380 caractères espaces max + autre texte « anecdote » : 330 caractères espaces compris max ou si un seul texte : 700 caractères espaces compris)
L’abbé Nolin, membre du mouvement des « physiocrates », obtint de Louis XV, en 1772, la concession de l’archipel. Fidèle aux idées de ce courant de pensée, il entreprit une véritable colonisation agricole de Chausey.
Situé le plus au nord de l’île, le puits-lavoir était, avec ceux du phare et du chemin de la Fontaine, l’un des trois points d’eau de l’île, indispensables aux besoins des Chausiais mais aussi… des vaches et des chevaux en liberté.
Photos (Toutes ne seront pas choisis)
Fond (autorisation Hervé Hillard ? Mention de son nom sur le panneau ?)
« Bulles »:
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Exemple :
